Acte II, Scène 7 - La scène de la galère
Retiens le sens de ces mots:
Aparté : nm, parole dite à part, au public, sans que les personnages sur scène entendent.
Ironie : nf, parole qui dit le contraire de ce que l’on pense.
Quiproquo : nm, méprise ou confusion et la situation comique qu'elle entraîne.
Aparté : nm, parole dite à part, au public, sans que les personnages sur scène entendent.
Ironie : nf, parole qui dit le contraire de ce que l’on pense.
Quiproquo : nm, méprise ou confusion et la situation comique qu'elle entraîne.
SCENE VII - GERONTE, SCAPIN
SCAPIN, feignant de ne pas voir Géronte.
O Ciel ! ô disgrâce imprévue ! ô misérable père ! Pauvre Géronte, que
feras-tu ?
GERONTE, à part.
Que dit-il là de moi, avec ce visage affligé ?
SCAPIN, même jeu.
N'y a-t-il personne qui puisse me dire où est le seigneur Géronte ?
GERONTE
Qu'y a-t-il, Scapin ?
SCAPIN, courant sur le théâtre, sans vouloir entendre ni voir Géronte.
Où pourrai-je le rencontrer pour lui dire cette infortune ?
GERONTE, courant après Scapin.
Qu'est-ce que c'est donc ?
SCAPIN, même jeu.
En vain je cours de tous côtés pour le pouvoir trouver.
GERONTE
Me voici.
SCAPIN, même jeu.
Il faut qu'il soit caché en quelque endroit qu'on ne puisse point
deviner.
GERONTE, arrêtant Scapin.
Holà ! es-tu aveugle, que tu ne me vois pas ?
SCAPIN
Ah ! Monsieur, il n'y a pas moyen de vous rencontrer.
GERONTE
Il y a une heure que je suis devant toi. Qu'est-ce que c'est donc qu'il
y a ?
SCAPIN
Monsieur...
GERONTE
Quoi ?
SCAPIN
Monsieur votre fils...
GERONTE
Hé bien ! mon fils...
SCAPIN
Est tombé dans une disgrâce la plus étrange du monde.
GERONTE
Et quelle ?
SCAPIN
Je l'ai trouvé tantôt, tout triste de je ne sais quoi que vous lui avez
dit, où vous m'avez mêlé assez mal à propos, et, cherchant à divertir
cette tristesse, nous nous sommes allés promener sur le port. La, entre
autres plusieurs choses, nous avons arrêté nos yeux sur une galère
turque assez bien équipée. Un jeune Turc de bonne mine nous a invités
d'y entrer et nous a présenté la main. Nous y avons passé, il nous a
fait mille civilités, nous a donné la collation, où nous avons mangé
des fruits les plus excellents qui se puissent voir, et bu du vin que
nous avons trouvé le meilleur du monde.
GERONTE
Qu'y a-t-il de si affligeant à tout cela ?
SCAPIN
Attendez, Monsieur, nous y voici. Pendant que nous mangions, il a fait
mettre la galère en mer, et, se voyant éloigné du port, il m'a fait
mettre dans un esquif, et m'envoie vous dire que, si vous ne lui
envoyez par moi tout à l'heure cinq cents écus, il va nous emmener
votre fils en Alger.
GERONTE
Comment ! diantre, cinq cents écus !
SCAPIN
Oui, Monsieur ; et, de plus, il ne m'a donné pour cela que deux heures.
GERONTE
Ah ! le pendard de Turc ! m'assassiner de la façon !
SCAPIN
C'est à vous, Monsieur, d'aviser promptement aux moyens de sauver des
fers un fils que vous aimez avec tant de tendresse.
GERONTE
Que diable allait-il faire dans cette galère ?
SCAPIN
Il ne songeait pas à ce qui est arrivé.
GERONTE
Va-t'en, Scapin, va-t'en dire à ce Turc que je vais envoyer la justice
après lui.
SCAPIN
La justice en peine mer ! Vous moquez-vous des gens ?
GERONTE
Que diable allait-il faire dans cette galère ?
SCAPIN
Une méchante destinée conduit quelquefois les personnes.
GERONTE
Il faut, Scapin, il faut que tu fasses ici l'action d'un serviteur
fidèle.
SCAPIN
Quoi, Monsieur ?
GERONTE
Que tu ailles dire à ce Turc qu'il me renvoie mon fils, et que tu te
mettes à sa place jusqu'à ce que j'aie amassé la somme qu'il demande.
SCAPIN
Eh ! Monsieur, songez-vous à ce que vous dites ? et vous figurez-vous
que ce Turc ait si peu de sens que d'aller recevoir un misérable comme
moi à la place de votre fils ?
GERONTE
Que diable allait-il faire dans cette galère ?
SCAPIN
Il ne devinait pas ce malheur. Songez, Monsieur, qu'il ne m'a donné que
deux heures.
GERONTE
Tu dis qu'il demande...
SCAPIN
Cinq cents écus.
GERONTE
Cinq cents écus ! N'a-t-il point de conscience ?
SCAPIN
Vraiment oui, de la conscience à un Turc !
GERONTE
Sait-il bien ce que c'est que cinq cents écus ?
SCAPIN
Oui, Monsieur, il sait que c'est mille cinq cents livres.
GERONTE
Croit-il, le traître, que mille cinq cents livres se trouvent dans le
pas d'un cheval ?
SCAPIN
Ce sont des gens qui n'entendent point de raison.
GERONTE
Mais que diable allait-il faire à cette galère ?
SCAPIN
Il est vrai ; mais quoi ! on ne prévoyait pas les choses. De grâce,
Monsieur, dépêchez.
GERONTE
Tiens, voila la clef de mon armoire.
SCAPIN
Bon.
GERONTE
Tu l'ouvriras.
SCAPIN
Fort bien.
GERONTE
Tu trouveras une grosse clef du côté gauche, qui est celle de mon
grenier.
SCAPIN
Oui.
GERONTE
Tu iras prendre toutes les hardes qui sont dans cette grande manne, et
tu les vendras aux fripiers pour aller racheter mon fils.
SCAPIN, en lui rendant la clef.
Eh ! Monsieur, rêvez-vous ? Je n'aurais pas cent francs de tout ce que
vous dites ; et, de plus, vous savez le peu de temps qu'on m'a donné.
GERONTE
Mais que diable allait-il faire dans cette galère ?
SCAPIN
Oh ! que de paroles perdues ! Laissez là cette galère, et songez que le
temps presse, et que vous courez risque de perdre votre fils. Hélas !
mon pauvre maître, peut-être que je ne te verrai de ma vie, et qu'à
l'heure que je parle, on t'emmène esclave en Alger ! Mais le Ciel me
sera témoin que j'ai fait pour toi tout ce que j'ai pu, et que si tu
manques à être racheté, il n'en faut accuser que le peu d'amitié d'un
père.
GERONTE
Attends, Scapin, je m'en vais quérir cette somme.
SCAPIN
Dépêchez-vous donc vite, Monsieur, je tremble que l'heure ne sonne.
GERONTE
N'est-ce pas quatre cents écus que tu dis ?
SCAPIN
Non, cinq cents écus.
GERONTE
Cinq cents écus ?
SCAPIN
Oui.
GERONTE
Que diable allait-il faire à cette galère ?
SCAPIN
Vous avez raison. Mais hâtez-vous.
GERONTE
N'y avait-il point d'autre promenade ?
SCAPIN
Cela est vrai. Mais faites promptement.
GERONTE
Ah ! maudite galère !
SCAPIN, à part.
Cette galère lui tient au coeur.
GERONTE
Tiens, Scapin, je ne me souvenais pas que je viens justement de
recevoir cette somme en or, et je ne croyais pas qu'elle dût m'être
sitôt ravie. (Il lui présente sa bourse, qu'il ne laisse pourtant pas
aller, et, dans ses transports, il fait aller son bras de côté et
d'autre, et Scapin le sien pour avoir la bourse.) Tiens ! Va-t'en
racheter mon fils.
SCAPIN, tendant la main.
Oui, Monsieur.
GERONTE, retenant la bourse qu'il fait semblant de vouloir donner à Scapin.
Mais dis à ce Turc que c'est un scélérat.
SCAPIN, tendant toujours la main.
Oui.
GERONTE, même jeu.
Un infâme.
SCAPIN
Oui.
GERONTE, même jeu.
Un homme sans foi, un voleur.
SCAPIN
Laissez-moi faire.
GERONTE, même jeu.
Qu'il me tire cinq cents écus contre toute sorte de droit.
SCAPIN
Oui.
GERONTE, même jeu.
Que je ne les lui donne ni à la mort ni à la vie.
SCAPIN
Fort bien.
GERONTE
Et que, si jamais je l'attrape, je saurai me venger de lui.
SCAPIN
Oui.
GERONTE, remettant sa bourse dans sa poche et s'en allant.
Va, va vite requérir mon fils.
SCAPIN, allant après lui.
Holà ! Monsieur.
GERONTE
Quoi ?
SCAPIN
Où est donc cet argent ?
GERONTE
Ne te l'ai-je pas donné ?
SCAPIN
Non, vraiment, vous l'avez remis dans votre poche.
GERONTE
Ah ! c'est la douleur qui me trouble l'esprit.
SCAPIN
Je le vois bien.
GERONTE
Que diable allait-il faire dans cette galère ? Ah ! maudite galère !
Traître de Turc à tous les diables !
SCAPIN, seul.
Il ne peut digérer les cinq cents écus que je lui arrache ; mais il
n'est pas quitte envers moi, et je veux qu'il me paie en une autre
monnaie l'imposture qu'il m'a faite auprès de son fils.
SCAPIN, feignant de ne pas voir Géronte.
O Ciel ! ô disgrâce imprévue ! ô misérable père ! Pauvre Géronte, que
feras-tu ?
GERONTE, à part.
Que dit-il là de moi, avec ce visage affligé ?
SCAPIN, même jeu.
N'y a-t-il personne qui puisse me dire où est le seigneur Géronte ?
GERONTE
Qu'y a-t-il, Scapin ?
SCAPIN, courant sur le théâtre, sans vouloir entendre ni voir Géronte.
Où pourrai-je le rencontrer pour lui dire cette infortune ?
GERONTE, courant après Scapin.
Qu'est-ce que c'est donc ?
SCAPIN, même jeu.
En vain je cours de tous côtés pour le pouvoir trouver.
GERONTE
Me voici.
SCAPIN, même jeu.
Il faut qu'il soit caché en quelque endroit qu'on ne puisse point
deviner.
GERONTE, arrêtant Scapin.
Holà ! es-tu aveugle, que tu ne me vois pas ?
SCAPIN
Ah ! Monsieur, il n'y a pas moyen de vous rencontrer.
GERONTE
Il y a une heure que je suis devant toi. Qu'est-ce que c'est donc qu'il
y a ?
SCAPIN
Monsieur...
GERONTE
Quoi ?
SCAPIN
Monsieur votre fils...
GERONTE
Hé bien ! mon fils...
SCAPIN
Est tombé dans une disgrâce la plus étrange du monde.
GERONTE
Et quelle ?
SCAPIN
Je l'ai trouvé tantôt, tout triste de je ne sais quoi que vous lui avez
dit, où vous m'avez mêlé assez mal à propos, et, cherchant à divertir
cette tristesse, nous nous sommes allés promener sur le port. La, entre
autres plusieurs choses, nous avons arrêté nos yeux sur une galère
turque assez bien équipée. Un jeune Turc de bonne mine nous a invités
d'y entrer et nous a présenté la main. Nous y avons passé, il nous a
fait mille civilités, nous a donné la collation, où nous avons mangé
des fruits les plus excellents qui se puissent voir, et bu du vin que
nous avons trouvé le meilleur du monde.
GERONTE
Qu'y a-t-il de si affligeant à tout cela ?
SCAPIN
Attendez, Monsieur, nous y voici. Pendant que nous mangions, il a fait
mettre la galère en mer, et, se voyant éloigné du port, il m'a fait
mettre dans un esquif, et m'envoie vous dire que, si vous ne lui
envoyez par moi tout à l'heure cinq cents écus, il va nous emmener
votre fils en Alger.
GERONTE
Comment ! diantre, cinq cents écus !
SCAPIN
Oui, Monsieur ; et, de plus, il ne m'a donné pour cela que deux heures.
GERONTE
Ah ! le pendard de Turc ! m'assassiner de la façon !
SCAPIN
C'est à vous, Monsieur, d'aviser promptement aux moyens de sauver des
fers un fils que vous aimez avec tant de tendresse.
GERONTE
Que diable allait-il faire dans cette galère ?
SCAPIN
Il ne songeait pas à ce qui est arrivé.
GERONTE
Va-t'en, Scapin, va-t'en dire à ce Turc que je vais envoyer la justice
après lui.
SCAPIN
La justice en peine mer ! Vous moquez-vous des gens ?
GERONTE
Que diable allait-il faire dans cette galère ?
SCAPIN
Une méchante destinée conduit quelquefois les personnes.
GERONTE
Il faut, Scapin, il faut que tu fasses ici l'action d'un serviteur
fidèle.
SCAPIN
Quoi, Monsieur ?
GERONTE
Que tu ailles dire à ce Turc qu'il me renvoie mon fils, et que tu te
mettes à sa place jusqu'à ce que j'aie amassé la somme qu'il demande.
SCAPIN
Eh ! Monsieur, songez-vous à ce que vous dites ? et vous figurez-vous
que ce Turc ait si peu de sens que d'aller recevoir un misérable comme
moi à la place de votre fils ?
GERONTE
Que diable allait-il faire dans cette galère ?
SCAPIN
Il ne devinait pas ce malheur. Songez, Monsieur, qu'il ne m'a donné que
deux heures.
GERONTE
Tu dis qu'il demande...
SCAPIN
Cinq cents écus.
GERONTE
Cinq cents écus ! N'a-t-il point de conscience ?
SCAPIN
Vraiment oui, de la conscience à un Turc !
GERONTE
Sait-il bien ce que c'est que cinq cents écus ?
SCAPIN
Oui, Monsieur, il sait que c'est mille cinq cents livres.
GERONTE
Croit-il, le traître, que mille cinq cents livres se trouvent dans le
pas d'un cheval ?
SCAPIN
Ce sont des gens qui n'entendent point de raison.
GERONTE
Mais que diable allait-il faire à cette galère ?
SCAPIN
Il est vrai ; mais quoi ! on ne prévoyait pas les choses. De grâce,
Monsieur, dépêchez.
GERONTE
Tiens, voila la clef de mon armoire.
SCAPIN
Bon.
GERONTE
Tu l'ouvriras.
SCAPIN
Fort bien.
GERONTE
Tu trouveras une grosse clef du côté gauche, qui est celle de mon
grenier.
SCAPIN
Oui.
GERONTE
Tu iras prendre toutes les hardes qui sont dans cette grande manne, et
tu les vendras aux fripiers pour aller racheter mon fils.
SCAPIN, en lui rendant la clef.
Eh ! Monsieur, rêvez-vous ? Je n'aurais pas cent francs de tout ce que
vous dites ; et, de plus, vous savez le peu de temps qu'on m'a donné.
GERONTE
Mais que diable allait-il faire dans cette galère ?
SCAPIN
Oh ! que de paroles perdues ! Laissez là cette galère, et songez que le
temps presse, et que vous courez risque de perdre votre fils. Hélas !
mon pauvre maître, peut-être que je ne te verrai de ma vie, et qu'à
l'heure que je parle, on t'emmène esclave en Alger ! Mais le Ciel me
sera témoin que j'ai fait pour toi tout ce que j'ai pu, et que si tu
manques à être racheté, il n'en faut accuser que le peu d'amitié d'un
père.
GERONTE
Attends, Scapin, je m'en vais quérir cette somme.
SCAPIN
Dépêchez-vous donc vite, Monsieur, je tremble que l'heure ne sonne.
GERONTE
N'est-ce pas quatre cents écus que tu dis ?
SCAPIN
Non, cinq cents écus.
GERONTE
Cinq cents écus ?
SCAPIN
Oui.
GERONTE
Que diable allait-il faire à cette galère ?
SCAPIN
Vous avez raison. Mais hâtez-vous.
GERONTE
N'y avait-il point d'autre promenade ?
SCAPIN
Cela est vrai. Mais faites promptement.
GERONTE
Ah ! maudite galère !
SCAPIN, à part.
Cette galère lui tient au coeur.
GERONTE
Tiens, Scapin, je ne me souvenais pas que je viens justement de
recevoir cette somme en or, et je ne croyais pas qu'elle dût m'être
sitôt ravie. (Il lui présente sa bourse, qu'il ne laisse pourtant pas
aller, et, dans ses transports, il fait aller son bras de côté et
d'autre, et Scapin le sien pour avoir la bourse.) Tiens ! Va-t'en
racheter mon fils.
SCAPIN, tendant la main.
Oui, Monsieur.
GERONTE, retenant la bourse qu'il fait semblant de vouloir donner à Scapin.
Mais dis à ce Turc que c'est un scélérat.
SCAPIN, tendant toujours la main.
Oui.
GERONTE, même jeu.
Un infâme.
SCAPIN
Oui.
GERONTE, même jeu.
Un homme sans foi, un voleur.
SCAPIN
Laissez-moi faire.
GERONTE, même jeu.
Qu'il me tire cinq cents écus contre toute sorte de droit.
SCAPIN
Oui.
GERONTE, même jeu.
Que je ne les lui donne ni à la mort ni à la vie.
SCAPIN
Fort bien.
GERONTE
Et que, si jamais je l'attrape, je saurai me venger de lui.
SCAPIN
Oui.
GERONTE, remettant sa bourse dans sa poche et s'en allant.
Va, va vite requérir mon fils.
SCAPIN, allant après lui.
Holà ! Monsieur.
GERONTE
Quoi ?
SCAPIN
Où est donc cet argent ?
GERONTE
Ne te l'ai-je pas donné ?
SCAPIN
Non, vraiment, vous l'avez remis dans votre poche.
GERONTE
Ah ! c'est la douleur qui me trouble l'esprit.
SCAPIN
Je le vois bien.
GERONTE
Que diable allait-il faire dans cette galère ? Ah ! maudite galère !
Traître de Turc à tous les diables !
SCAPIN, seul.
Il ne peut digérer les cinq cents écus que je lui arrache ; mais il
n'est pas quitte envers moi, et je veux qu'il me paie en une autre
monnaie l'imposture qu'il m'a faite auprès de son fils.
Travail préparatoire
1. Je lis attentivement la Scène 7 de l'Acte II
2. Je cherche le sens et la nature de feignant (feindre), affligé, infortune, galère, mine, collation, affligeant, esquif, aviser, sauver des fers, amasser, hardes, manne, fripier, quérir, scélérat, requérir, être quitte, imposture.
3. Que penses-tu du mensonge de Scapin ?
4. Raconte s'il t'est arrivé de mentir pour obtenir quelque chose en deux phrases. Quelle stratégie marche le mieux?
2. Je cherche le sens et la nature de feignant (feindre), affligé, infortune, galère, mine, collation, affligeant, esquif, aviser, sauver des fers, amasser, hardes, manne, fripier, quérir, scélérat, requérir, être quitte, imposture.
3. Que penses-tu du mensonge de Scapin ?
4. Raconte s'il t'est arrivé de mentir pour obtenir quelque chose en deux phrases. Quelle stratégie marche le mieux?
En classe - j'analyse le comique (critères A, C et D)
Je retiens qu'il existe différents types de comique que l'on classe ainsi :
A mon tour d'essayer... Je choisis un type de comique et je construis une explication en citant le texte.
1. Je travaille sur le comique de ...
2. Voici les citations qui correspondent à ce comique...
3. J'explique le comique en restant chronologique et en citant le texte dans un paragraphe rédigé.
1. Je travaille sur le comique de ...
2. Voici les citations qui correspondent à ce comique...
3. J'explique le comique en restant chronologique et en citant le texte dans un paragraphe rédigé.
Travail asynchrone
Je termine les activités de la semaine.
J'apprends par coeur les règles d'accord du participe passé et le nom des temps simples et composés.
Pour vérifier que je sais par coeur, je me teste en fermant mes cahiers et mon ordinateur et en copiant de mémoire les règles d'accord et le nom des 8 temps de l'indicatif.
J'apprends par coeur les règles d'accord du participe passé et le nom des temps simples et composés.
Pour vérifier que je sais par coeur, je me teste en fermant mes cahiers et mon ordinateur et en copiant de mémoire les règles d'accord et le nom des 8 temps de l'indicatif.